E-auction 166-102486 - bpv_154321 - FILIPPO I PADRE Tétradrachme syro-phénicien
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SENZA COSTI PER GLI ACQUIRENTI.
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Valutazione : | 180 € |
Prezzo : | 51 € |
Offerta maxima : | 63 € |
Data di fine vendita : | 20 giugno 2016 15:14:00 |
partecipanti : | 9 partecipanti |
Tipo : Tétradrachme syro-phénicien
Data: 249
Nome della officina / città: Antioche, Syrie, Séleucie et Piérie
Metallo : billone
Diametro : 28,00 mm
Asse di coniazione : 6 h.
Peso : 11,77 g.
Grado di rarità : R2
Commenti sullo stato di conservazione:
Faible usure mais importante corrosion
N° nelle opere di riferimento :
Pedigree :
Cet exemplaire, qui provient de la trouvaille dite de Jordanie 1930, est le 0484_011 de la base TSP
Diritto
Descrittivo diritto : Buste lauré, drapé et cuirassé de Philippe Ier à droite, vu de trois quarts en arrière (A*2), quatre globules sous le buste.
Legenda diritto : AUTOK K M IOUL FILIPPOS SEB, (Autokratoros Kaisaros Markos Ioulios Filippos Sebastos).
Traduzione diritto : (L’empereur césar Marc Jules Philippe auguste).
Rovescio
Titolatura rovescio : ANTIOXIA / S|C À L’EXERGUE.
Descrittivo rovescio : Aigle debout à gauche, les ailes largement déployées, tête à gauche et queue à droite, tenant une couronne feuillée dans son bec.
Legenda rovescio : DHMARC - EX OUSIAS UPATOD.
Traduzione rovescio : (Revêtu de la puissance tribunitienne / Consul pour la quatrième fois / avec l’accord du Sénat d’Antioche).
Commento
Ce type est l’un des très rares tétradrachmes syro-phéniciens a avoir été victime d’une falsification de bonne qualité, avec copie de coins originaux et frappe mécanique. Ces faux se repèrent assez facilement par la force de la frappe, sans rapport avec les biceps d’un monnayeur humain, la texture du métal, soit trop cuivreux, soit trop argenté, et par l’aspect de la tranche, complètement explosé par la force de la presse mécanique moderne. Huit faux ont été répertoriés dans le commerce.
Ces frappes à marques d’officines sont la fin des émissions pour Philippe père et fils, simplement parce que cette même méthode se poursuivra sous le règne de son successeur, Trajan Dèce, alors qu’elle n’existe pas avant le quatrième consulat de Philippe.
Le marquage des officines se fait par points sous le buste, de un à quatre, mais il est possible, au style, de penser que ces émissions comportent aussi une officine sans point. Cette question se réglera, comme tant d’autres, par une reconstitution des chaînes de coins qui montrera, ou non, une série particulière, sans point, du même style de gravure des bustes que les frappes avec points.
Le classement des bustes avec deux points sous la cuirasse, qui se trouvent tant pour le père que pour le fils, dans cette série à officines indiquées, est pratiquement certain. Les arguments en faveur sont la faiblesse des émissions de Philippe père, pour la deuxième officine, avec le buste standard ; on peut donc penser que la production de cette officine a été répartie entre les deux types de bustes alors que celles des autres se concentraient sur des bustes standards, laurés, drapés et cuirassés à droite.
Pour le fils, les émissions avec deux points sous la cuirasse viennent peut-être compléter les émissions de cette officine à buste standard car, là, ce sont les frappes avec aigle à droite qui sont inconnues et n’existent peut-être pas.
Ces émissions sont fort rares et précèdent certainement de très peu la chute des Philippe. On ne peut pas déterminer actuellement le motif de cette réorganisation, peut-être à réfléchir en comparaison avec les frappes d’antoniniens.
Curieusement, elles sont peu présentes en musées, ou d’acquisitions récentes. Aucun exemplaire n’est référencé dans le BMC et il semble que sans les trouvailles de Doura, l’émission serait restée ignorée.
Dès que Philippe II est proclamé auguste, il utilise toujours les titres de son père au revers mais encore adopte sa titulature de droit. Les collectionneurs débutants ont d’ailleurs des difficultés à distinguer le père du fils ; la règle est simple : le père a toujours une ride qui barre le front, le fils toujours un front lisse.
On note que les sigma sont gravés en C.
Dans la base TSP maintenue par Michel Prieur, quatorze exemplaires sont maintenant répertoriés pour ce type, dont deux en musées, à l’ANS.
Ces frappes à marques d’officines sont la fin des émissions pour Philippe père et fils, simplement parce que cette même méthode se poursuivra sous le règne de son successeur, Trajan Dèce, alors qu’elle n’existe pas avant le quatrième consulat de Philippe.
Le marquage des officines se fait par points sous le buste, de un à quatre, mais il est possible, au style, de penser que ces émissions comportent aussi une officine sans point. Cette question se réglera, comme tant d’autres, par une reconstitution des chaînes de coins qui montrera, ou non, une série particulière, sans point, du même style de gravure des bustes que les frappes avec points.
Le classement des bustes avec deux points sous la cuirasse, qui se trouvent tant pour le père que pour le fils, dans cette série à officines indiquées, est pratiquement certain. Les arguments en faveur sont la faiblesse des émissions de Philippe père, pour la deuxième officine, avec le buste standard ; on peut donc penser que la production de cette officine a été répartie entre les deux types de bustes alors que celles des autres se concentraient sur des bustes standards, laurés, drapés et cuirassés à droite.
Pour le fils, les émissions avec deux points sous la cuirasse viennent peut-être compléter les émissions de cette officine à buste standard car, là, ce sont les frappes avec aigle à droite qui sont inconnues et n’existent peut-être pas.
Ces émissions sont fort rares et précèdent certainement de très peu la chute des Philippe. On ne peut pas déterminer actuellement le motif de cette réorganisation, peut-être à réfléchir en comparaison avec les frappes d’antoniniens.
Curieusement, elles sont peu présentes en musées, ou d’acquisitions récentes. Aucun exemplaire n’est référencé dans le BMC et il semble que sans les trouvailles de Doura, l’émission serait restée ignorée.
Dès que Philippe II est proclamé auguste, il utilise toujours les titres de son père au revers mais encore adopte sa titulature de droit. Les collectionneurs débutants ont d’ailleurs des difficultés à distinguer le père du fils ; la règle est simple : le père a toujours une ride qui barre le front, le fils toujours un front lisse.
On note que les sigma sont gravés en C.
Dans la base TSP maintenue par Michel Prieur, quatorze exemplaires sont maintenant répertoriés pour ce type, dont deux en musées, à l’ANS.