bpv_141608 - VESPASIANO Tétradrachme syro-phénicien
non disponibile.
Articolo venduto sul nostro negozio
Prezzo : 95.00 €
Articolo venduto sul nostro negozio
Prezzo : 95.00 €
Tipo : Tétradrachme syro-phénicien
Data: an 1
Nome della officina / città: Antioche, Syrie, Séleucie et Piérie
Metallo : argento
Diametro : 24 mm
Asse di coniazione : 12 h.
Peso : 13,94 g.
Grado di rarità : R1
Commenti sullo stato di conservazione:
Nette usure de circulation, flan trop petit pour le coin, et frappe légèrement décalée ; heureusement, la date est parfaitement lisible en fin de légende du revers
N° nelle opere di riferimento :
Pedigree :
Cet exemplaire est le 0120_015 de la base TSP, il provient de la trouvaille dite de Banias
Diritto
Descrittivo diritto : Tête laurée de Vespasien à droite (O*).
Legenda diritto : AUTOKRA OUESPASIANOU KAISAR SEBASTOS.
Traduzione diritto : (L'empereur Vespasien césar Auguste ).
Rovescio
Descrittivo rovescio : Aigle debout à gauche sur une massue, une couronne dans le bec, les ailes déployées.
Legenda rovescio : ETOUS NEOU IEROU A.
Traduzione rovescio : (année sainte, première du règne).
Commento
Le sixième groupe des frappes de Vespasien commence en l’an 1 et se poursuit jusqu’à l’an 3, il est donc directement lié à la Guerre Juive, avec un maximum de production en l’an 2. Il se caractérise par un aigle avec couronne dans le bec mais sur une massue, sans croissant entre les pattes.
Très homogène, on n’y trouve que deux, peut-être trois graveurs, dont l’un exceptionnel, celui de notre exemplaire, qui utilise au mieux les possibilités offertes par une fonderie qui arrive à fournir des flans très larges. Les portraits sont de particulièrement grand module : on est bien loin des petits portraits stéréotypés des deniers de l’atelier de Rome ! Malheureusement, cet exemplaire a été frappé sur un flan normal, insuffisant pour le diamètre du coin.
Les sigma sont traités en C.
Dans la base TSP maintenue par Michel Prieur, vingt exemplaires seulement sont maintenant répertoriés ; aucun exemplaire au Cabinet des Médailles de Paris.
Très homogène, on n’y trouve que deux, peut-être trois graveurs, dont l’un exceptionnel, celui de notre exemplaire, qui utilise au mieux les possibilités offertes par une fonderie qui arrive à fournir des flans très larges. Les portraits sont de particulièrement grand module : on est bien loin des petits portraits stéréotypés des deniers de l’atelier de Rome ! Malheureusement, cet exemplaire a été frappé sur un flan normal, insuffisant pour le diamètre du coin.
Les sigma sont traités en C.
Dans la base TSP maintenue par Michel Prieur, vingt exemplaires seulement sont maintenant répertoriés ; aucun exemplaire au Cabinet des Médailles de Paris.