fme_1001738 - SECONDO IMPERO FRANCESE Médaille, Exposition universelle, la belle jardinière
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Tipo : Médaille, Exposition universelle, la belle jardinière
Data: 1855
Metallo : rame dorato
Diametro : 28 mm
Asse di coniazione : 6 h.
Incisore CAQUÉ Armand Auguste (1795-1881)
Peso : 12,27 g.
Orlo : lisse
Marchio : sans poinçon
Grado di rarità : R1
Commenti sullo stato di conservazione:
Patine hétérogène avec des traces d’usure, manipulation et quelques rayures. Présence de tâches d’oxydation
N° nelle opere di riferimento :
Diritto
Titolatura diritto : ANÉPIGRAPHE.
Descrittivo diritto : Têtes en jugate à gauche de Napoléon III et Eugénie, signé CAQUÉ P..
Rovescio
Titolatura rovescio : M.SON DE LA BELLE JARDINIERE QUAI AUX FLEURS - P. PARISSOT // DANS LE CHAMP : EXPOSITION / UNIVERSELLE / 1855 / MÉDAILLE / D’HONNEUR.
Descrittivo rovescio : Légende en 5 lignes dans le champ, signé MASSONNET EDITEUR.
Commento
Les expositions universelles ont été créées pour présenter les réalisations industrielles des différentes nations. Elles représentaient la vitrine technologique et industrielle des participants, témoignant du progrès au cours de la révolution industrielle. La première exposition universelle s'est déroulée à Londres en 1851.
À l'origine, chaque pays disposait d'un espace réservé dans un pavillon central. À partir de 1867, des pavillons nationaux firent leur apparition. En principe, ils étaient attribués seulement s'il y avait des choses à présenter que le pavillon central ne pouvait accueillir. Ils ne tardèrent pas à se généraliser, les nations exposantes construisant des pavillons typiques de l'architecture de leurs pays.
La compétition était omniprésente dans les expositions universelles, et des concours permettaient aux plus méritants d'obtenir des médailles bénéficiant d'un certain prestige.
De nombreuses réalisations architecturales construites à l'occasion d'expositions universelles sont devenues par la suite des symboles des villes qui les ont abritées : la tour Eiffel à Paris, l'Atomium à Bruxelles, le Space Needle à Seattle, la Biosphère à Montréal.
Enfin, la tenue des expositions universelles a toujours été l'occasion de mettre en place des projets d'urbanisme : construction du métro de Paris en 1900 ou celui de Montréal en 1967, extension du métro de Lisbonne en 1998…
Voir http://fr.wikipedia.org/wiki/Exposition_universelle ;
Pour se rendre compte de l’importance de ce magasin au XIXe siècle, voir la notice wikipedia à http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%80_la_Belle_Jardini%C3%A8re.
À l'origine, chaque pays disposait d'un espace réservé dans un pavillon central. À partir de 1867, des pavillons nationaux firent leur apparition. En principe, ils étaient attribués seulement s'il y avait des choses à présenter que le pavillon central ne pouvait accueillir. Ils ne tardèrent pas à se généraliser, les nations exposantes construisant des pavillons typiques de l'architecture de leurs pays.
La compétition était omniprésente dans les expositions universelles, et des concours permettaient aux plus méritants d'obtenir des médailles bénéficiant d'un certain prestige.
De nombreuses réalisations architecturales construites à l'occasion d'expositions universelles sont devenues par la suite des symboles des villes qui les ont abritées : la tour Eiffel à Paris, l'Atomium à Bruxelles, le Space Needle à Seattle, la Biosphère à Montréal.
Enfin, la tenue des expositions universelles a toujours été l'occasion de mettre en place des projets d'urbanisme : construction du métro de Paris en 1900 ou celui de Montréal en 1967, extension du métro de Lisbonne en 1998…
Voir http://fr.wikipedia.org/wiki/Exposition_universelle ;
Pour se rendre compte de l’importance de ce magasin au XIXe siècle, voir la notice wikipedia à http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%80_la_Belle_Jardini%C3%A8re.