QUINTA REPUBBLICA FRANCESE Médaille, Centenaire du congrès des orientalistes fme

QUINTA REPUBBLICA FRANCESE Médaille, Centenaire du congrès des orientalistes SPL+

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Tipo : Médaille, Centenaire du congrès des orientalistes

Data: 1973

Nome della officina / città: Monnaie de Paris

Metallo : bronzo

Diametro : 80,5 mm

Asse di coniazione : 12 h.

Incisore EMMEL Claude (

Peso : 288,11 g.

Orlo : lisse + corne BRONZE + 1973

Marchio : corne BRONZE

Commenti sullo stato di conservazione:

Quelques traces de rayures

N° nelle opere di riferimento :

CMP.vol.4**pp.720 A

Diritto

Titolatura diritto : CONGRES INTERNATIONALE DES ORIENTALISTES / 1873 / PARIS / 1973.

Descrittivo diritto : Thème iconographique fourni par la légende “Quatre fils du ciel” qui règnent sur quatre royaumes: celui du nord à d’excellent chevaux, celui de l’Est (Chine), une population prospère, celui du Sud (Inde) des éléphants renommés, celui de l’Ouest ( Iran et Orient méditerranéen) la richesse commerciales. Chaque pays est représenté par une oeuvre d’art caractéristiques : cheval mongol, bas relief chinois, éléphant du stupa de Sanchi, rhyton et monnaies sassanides. En complément, entre chaque sujet, évocation plus discrète d’autres pays orientaux : la Turquie ( Mosquée du sultan Ahmed à Istanbul) , le Japon ( Torii de l’ile de Miyajima) , le sud-est asiatique ( Angkor Vat) et l’Egypte ( les pyramides ) Signé : C. EMMEL.

Rovescio

Titolatura rovescio : CENT CINQUANTENAIRE DE LA SOCIETE ASIATIQUE.

Descrittivo rovescio : La carte de l’Egypte et de l’Asie avec le mots hommes en plusieurs langue .

Commento

Médaille conservée dans une boîte cartonnée bleue

Maria Goretti est une sainte Italienne, à 12 ans son voisin Allesandro Serenelli abuse d’elle régulièrement.
Le 5 Juillet 1910,alors qu’elle est seule le jeune homme l’emporte dans la cuisine, Maria lui dit qu’il ira en enfer, fou de rage il l’étrangle et la poignarde. Les voisins interviennent et elle est transporté à l’hopital de Nettuno ou elle meurt.
Condamné à trente ans de prison Alexandre confiera qu’en 1910 il reva de Maria dans un champs de lis.