bpv_173665 - CARACALLA Tétradrachme syro-phénicien
non disponibile.
Articolo venduto sul nostro negozio (2016)
Prezzo : 180.00 €
Articolo venduto sul nostro negozio (2016)
Prezzo : 180.00 €
Tipo : Tétradrachme syro-phénicien
Data: 215-217
Nome della officina / città: Beroea, Syrie, Cyrrhestica
Metallo : billone
Diametro : 28 mm
Asse di coniazione : 6 h.
Peso : 13,81 g.
Grado di rarità : R2
Commenti sullo stato di conservazione:
Faible usure mais centrage imparfait à droite
N° nelle opere di riferimento :
Diritto
Descrittivo diritto : Buste lauré, drapé et cuirassé de Caracalla à droite, vu de trois-quarts en arrière. Les deux rubans de la couronne laurée descendent derrière la tête (A*2).
Legenda diritto : AUT. K.M. AU .ANTWNEINOS .SEB (Autokrator Kaisar Markos Aurhlios Antwneinos Sebastos).
Traduzione diritto : (L’empereur césar Marc Aurèle Antonin auguste).
Rovescio
Descrittivo rovescio : Aigle debout à droite, les ailes déployées, la tête et la queue tournées à gauche, tenant dans son bec une couronne feuillée ; un griffon ailé de face entre les pattes, B - E dans le champ sous les pattes de l’aigle.
Legenda rovescio : DHMARC. EX. UPATOS TO. D., (Dhmarcikhs Ex Ousias Upatos D).
Traduzione rovescio : (Revêtu de la puissance tribunitienne consul pour la quatrième fois).
Commento
Ce graveur de revers est particulièrement rare pour le type qui est de loin le type le plus courant pour Caracalla dans cette série.
Si l’attribution de cette série à Beroea, l’antique Alep ou Halab, est certaine par les initiales BE dans le champ du revers, l’interprétation du symbole ne l’est pas, ni même sa lecture. Pour Henri Seyrig dans Antiquités Syriennes 84, le symbole représenterait un lion cornu et ailé vu de face mais les commentateurs le décrivent plutôt comme un griffon vu de face. Nous suivons cette interprétation car tous les lions symboliques sur les tétradrachmes syro-phéniciens sont représentés de profil et aisément identifiables. La statue cultuelle représentée ici devait être très particulière pour ne présenter que deux pattes. Les deux courbes sur la tête en plus des cornes et des ailes ne rappellent rien de particulier. On ne connaît pas encore de frappe de présentation pour la série, avec le revers complètement consacré au symbole, sans aigle, et il est probable que la découverte d’un exemplaire permettra une interprétation plus pertinente.
La série comporte un seul graveur pour les droits (sauf une seule pièce) mais au moins quatre pour les revers.
On note que les sigma sont gravés en C.
Dans la base TSP maintenue par Michel Prieur, vingt-sept exemplaires sont maintenant répertoriés. Notre exemplaire est le 0884_004.
Si l’attribution de cette série à Beroea, l’antique Alep ou Halab, est certaine par les initiales BE dans le champ du revers, l’interprétation du symbole ne l’est pas, ni même sa lecture. Pour Henri Seyrig dans Antiquités Syriennes 84, le symbole représenterait un lion cornu et ailé vu de face mais les commentateurs le décrivent plutôt comme un griffon vu de face. Nous suivons cette interprétation car tous les lions symboliques sur les tétradrachmes syro-phéniciens sont représentés de profil et aisément identifiables. La statue cultuelle représentée ici devait être très particulière pour ne présenter que deux pattes. Les deux courbes sur la tête en plus des cornes et des ailes ne rappellent rien de particulier. On ne connaît pas encore de frappe de présentation pour la série, avec le revers complètement consacré au symbole, sans aigle, et il est probable que la découverte d’un exemplaire permettra une interprétation plus pertinente.
La série comporte un seul graveur pour les droits (sauf une seule pièce) mais au moins quatre pour les revers.
On note que les sigma sont gravés en C.
Dans la base TSP maintenue par Michel Prieur, vingt-sept exemplaires sont maintenant répertoriés. Notre exemplaire est le 0884_004.