bpv_141605 - VESPASIANO Tétradrachme syro-phénicien
non disponibile.
Articolo venduto sul nostro negozio (2016)
Prezzo : 380.00 €
Articolo venduto sul nostro negozio (2016)
Prezzo : 380.00 €
Tipo : Tétradrachme syro-phénicien
Data: an 5
Nome della officina / città: Antioche, Syrie, Séleucie et Piérie
Metallo : argento
Diametro : 24 mm
Asse di coniazione : 12 h.
Peso : 14,77 g.
Grado di rarità : R2
Commenti sullo stato di conservazione:
Très légère usure de circulation limitée à la mèche sous les lauriers au droit et à quelques plumes du ventre de l’aigle au revers. Avant nettoyage, l’exemplaire avait une patine très sombre caractéristique des monnaies de la trouvaille de Banias avant nettoyage
N° nelle opere di riferimento :
Pedigree :
Cet exemplaire est le 0117_009, il provient de la trouvaille dite de Banias, provenance que signe sa patine caractéristique
Diritto
Descrittivo diritto : Tête laurée de Vespasien à droite (O*).
Legenda diritto : AUTOKRAT KAISA OUESPASIANOU, (Autokratoros Kaisaros ouespasianou)
Traduzione diritto : (L'empereur césar Vespasien).
Rovescio
Descrittivo rovescio : Aigle debout à gauche sur une massue, les ailes déployées.
Legenda rovescio : ETOUS E IEROU (Etous e Ierou)
Traduzione rovescio : (cinquième année sainte).
Commento
Les monnaies du troisième groupe des frappes de Vespasien, caractérisées par un aigle à gauche sur une massue, sans couronne dans le bec, sont du style d’Alexandrie mais de la datation syrienne avec la lettre annuelle surmontée d’une barre. Les quantités frappées suivent les besoins : les frappes les plus massives sont celles de l’An 2, fin de la Guerre juive et elles se terminent en l’An 5 avec des quantités frappées décroissantes au fil des années.
Plusieurs graveurs participent à cette série où celui de notre exemplaire est très bien représenté. On doit remarquer que les pièces des groupes dits au style d’Alexandrie ont une caractéristique commune : l’aigle ne tient pas de couronne (groupes 1, 2 et 3) dans le bec. Ceci renforce l’idée que cette couronne était une distinction attribuée à la ville émettrice et que nous aurions affaire à un atelier militaire ou plus simplement à un atelier - quelque soit sa localisation - fourni en métal par le Trésor Militaire, sans lien organique avec une ville.
Les frappes de l’an 5, dernière année de frappe pour Vespasien, sont de loin les plus rares du troisième groupe ; elles sont d’ailleurs les seules de cette année avec celles, très rares elles aussi, avec le revers à l’autel, groupe dix des frappes de Vespasien.
Dans la base TSP maintenue par Michel Prieur, onze exemplaires seulement sont maintenant répertoriés ; les seuls musées à présenter un exemplaire sont Berlin et l’ANS de New-York.
Plusieurs graveurs participent à cette série où celui de notre exemplaire est très bien représenté. On doit remarquer que les pièces des groupes dits au style d’Alexandrie ont une caractéristique commune : l’aigle ne tient pas de couronne (groupes 1, 2 et 3) dans le bec. Ceci renforce l’idée que cette couronne était une distinction attribuée à la ville émettrice et que nous aurions affaire à un atelier militaire ou plus simplement à un atelier - quelque soit sa localisation - fourni en métal par le Trésor Militaire, sans lien organique avec une ville.
Les frappes de l’an 5, dernière année de frappe pour Vespasien, sont de loin les plus rares du troisième groupe ; elles sont d’ailleurs les seules de cette année avec celles, très rares elles aussi, avec le revers à l’autel, groupe dix des frappes de Vespasien.
Dans la base TSP maintenue par Michel Prieur, onze exemplaires seulement sont maintenant répertoriés ; les seuls musées à présenter un exemplaire sont Berlin et l’ANS de New-York.