bga_253251 - GALLIA BELGICA - REMI (Regione di Reims) Bronze à l'aigle, surfrappé sur un bronze GERMANVS INDVTILLI au taureau
non disponibile.
Articolo venduto sul nostro negozio (2018)
Prezzo : 600.00 €
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Prezzo : 600.00 €
Tipo : Bronze à l'aigle, surfrappé sur un bronze GERMANVS INDVTILLI au taureau
Data: c. 15-10 AC.
Nome della officina / città: Reims (51)
Metallo : bronzo
Diametro : 19 mm
Asse di coniazione : 5 h.
Peso : 2,19 g.
Grado di rarità : UNIQUE
Commenti sullo stato di conservazione:
Flan large et régulier., mais un peu ovale. Frappe centrée au droit et au revers avec des vestiges des types antérieures. Patine claire aux reflets métalliques, avec des zones plus sombres et hétérogènes
N° nelle opere di riferimento :
Diritto
Titolatura diritto : IMP - CAESAR.
Descrittivo diritto : Tête laurée d’Auguste à droite.
Traduzione diritto : “Imperator Cæsar”, (l’empereur césar).
Rovescio
Titolatura rovescio : AVGV[STVS] AU-DESSUS.
Descrittivo rovescio : Aigle de face, les ailes déployées.
Traduzione rovescio : “Augustus”, (Augustus).
Commento
Ce bronze est techniquement très intéressant ! Si nous distinguons clairement la tête d’Auguste au droit et l’aigle de face au revers, le type antérieur se devine aussi.
Ce genre de surfrappe peu être diversement interprété ;
- les bronzes GERMANVS INDVTILLI serait antérieurs aux bronzes à l’aigle.
- ces deux séries ont été fabriquées dans un même atelier de façon contemporaine...
Ces conclusions sont un peu trop hâtives et méritent toute la circonspection nécessaire !
Pour le semis à l’aigle, J.-M. Doyen date la pièce de -8/-1 avant J.-C. et l’attribue à un atelier encore non localisé, sans doute du sud de la Gaule Belgique ou du nord de la lyonnaise. C’est à sa connaissance le premier exemplaire contremarqué. Le type est fréquent : sur les seuls sites de référence, il en totalise plus de 1800 exemplaires, pour à peine plus de 500 Germanus et 300 « taureaux » (Reims p. 64-65, tableau 23).
Ce genre de surfrappe peu être diversement interprété ;
- les bronzes GERMANVS INDVTILLI serait antérieurs aux bronzes à l’aigle.
- ces deux séries ont été fabriquées dans un même atelier de façon contemporaine...
Ces conclusions sont un peu trop hâtives et méritent toute la circonspection nécessaire !
Pour le semis à l’aigle, J.-M. Doyen date la pièce de -8/-1 avant J.-C. et l’attribue à un atelier encore non localisé, sans doute du sud de la Gaule Belgique ou du nord de la lyonnaise. C’est à sa connaissance le premier exemplaire contremarqué. Le type est fréquent : sur les seuls sites de référence, il en totalise plus de 1800 exemplaires, pour à peine plus de 500 Germanus et 300 « taureaux » (Reims p. 64-65, tableau 23).