bga_265791 - GALLIA - BELGICA - REGIONE DI PARIGGI Fibule monétiforme
non disponibile.
Articolo venduto sul nostro negozio (2012)
Prezzo : 420.00 €
Articolo venduto sul nostro negozio (2012)
Prezzo : 420.00 €
Tipo : Fibule monétiforme
Data: c. IV-IXe siècles après J.-C.
Metallo : bronzo
Diametro : 24,5 mm
Peso : 3,64 g.
Grado di rarità : R3
Commenti sullo stato di conservazione:
Objet avec une légère cassure derrière la tête. Motif complet avec une patine vert foncé. Deux petits trous sont à signaler à onze heures et une heure
N° nelle opere di riferimento :
Diritto
Titolatura diritto : ANÉPIGRAPHE.
Descrittivo diritto : Tête nue à droite, la chevelure en mèches raides tirées en arrière ; grènetis et bourrelet périphérique.
Rovescio
Descrittivo rovescio : Traces de l’ardillon.
Commento
Cet objet n’est probablement pas d’origine gauloise, mais il a bel et bien sa place dans ce catalogue.
Réalisé plusieurs siècles après que les monnaies gauloises aient cessé de circuler en Gaule, cette fibule s’inspire d’un potin gaulois !
Le prototype n’est pas le potin dit “à la cigarette”, comme nous l’avions proposé dans MONNAIES XV (n° 1063) mais plus vraisemblablement le “Potin au cheval”, classe III (LT. 7859).
Les deux trous sont vraisemblablement des traces de suspension, marquant une réutilisation postérieure.
Des objets techniquement comparables auraient été découverts dans des sépultures de l'époque mérovingienne. Les monnaies gauloises se retrouvent couramment dans les tombes mérovingiennes. Cette parure pourrait très bien être le dessus d'une fibule, dont il manque l'ardillon, réalisée par un artisan (de l'époque gauloise à l'époque médiévale) séduit par l'iconographie du potin celtique dit “à la cigarette” qu'il aurait eu entre les mains.
Réalisé plusieurs siècles après que les monnaies gauloises aient cessé de circuler en Gaule, cette fibule s’inspire d’un potin gaulois !
Le prototype n’est pas le potin dit “à la cigarette”, comme nous l’avions proposé dans MONNAIES XV (n° 1063) mais plus vraisemblablement le “Potin au cheval”, classe III (LT. 7859).
Les deux trous sont vraisemblablement des traces de suspension, marquant une réutilisation postérieure.
Des objets techniquement comparables auraient été découverts dans des sépultures de l'époque mérovingienne. Les monnaies gauloises se retrouvent couramment dans les tombes mérovingiennes. Cette parure pourrait très bien être le dessus d'une fibule, dont il manque l'ardillon, réalisée par un artisan (de l'époque gauloise à l'époque médiévale) séduit par l'iconographie du potin celtique dit “à la cigarette” qu'il aurait eu entre les mains.