fjt_744792 - PARIS - ILE DE FRANCE Chrétien-François Ier de Lamoignon et Marie - Jeanne Voisin, refrappe postérieure 1698
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Prezzo : 45.00 €
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Tipo : Chrétien-François Ier de Lamoignon et Marie - Jeanne Voisin, refrappe postérieure
Data: 1698
Metallo : rame rosso
Diametro : 34 mm
Asse di coniazione : 6 h.
Peso : 11 g.
Orlo : lisse
Grado di rarità : R1
Commenti sullo stato di conservazione:
Perforation
N° nelle opere di riferimento :
Pedigree :
Exemplaire provenant de la Collection MARINECHE
Diritto
Descrittivo diritto : Armes de Chrétien-François Ier de Lamoignon et celles de Marie-Jeanne Voisin.
Rovescio
Titolatura rovescio : MARIE JEANNE VOYSIN EP DE CHRE FRA DE LAMOIGNON MARQ DE BAVILLE PRES A MORTIER M DC XCVIII.
Commento
Nous trouvons une biographie de notre personnage à http://fr.wikipedia.org/wiki/Chr%C3%A9tien-Fran%C3%A7ois_Ier_de_Lamoignon dont nous extrayons ce qui suit :
Chrétien-François Ier de Lamoignon né le 26 juin 1644 et décédé le 7 août 1709, fut avocat général et magistrat au Parlement. Sa famille semble avoir été originaire du Nivernais.
Fils aîné de Guillaume Ier de Lamoignon et de Madeleine Potier, doué d'un éloquence naturelle, il débute très tôt au barreau et occupera pendant un quart de siècle la fonction d'avocat général à partir de 1673, à la suite de son maître Jérôme Bignon. Parallèlement, il poursuit une carrière de magistrature et il devient conseiller au Parlement dès 1666.
Les chroniques de l'époque relate son inlassable et diligente activité et son sens de l'organisation pendant l'épidémie de peste de Soissons.
Il fut nommé président à mortier du Parlement de Paris en 1690 et il ne se désistera de cette charge, en faveur de son fils aîné, que deux ans avant sa mort.
Il continuera la tradition familiale, initiée par son père, d'accueillir les littérateurs et les ecclésiastiques en renom: Molière, Racine, Regnard et surtout Boileau qui lui dédiera sa sixième Épitre; les pères René Rapin, Dominique Bouhours et surtout Bourdaloue pour lequel il écrivit une Lettre sur sa mort (survenue en 1704), qui fut imprimée.
Il épousa Marie-Jeanne Voisin, fille unique de Daniel Voisin, seigneur de la Cerisaye, conseiller d'État, prévôt des marchands, intendant d'Auvergne et de Champagne, et de Marie Talon, fille d'Omer Talon.
Ce jeton, si l’on en juge à la tranche, est une refrappe postérieure.
We find a biography of our character at http://fr. Wikipedia. org/wiki/Chr%C3%A9tien-Fran%C3%A7ois_Ier_de_Lamoignon from which we extract the following: Chrétien-François Ier de Lamoignon born on June 26, 1644 and died on August 7, 1709, was attorney general and magistrate in Parliament. His family seems to have come from Nivernais.
Eldest son of Guillaume I de Lamoignon and Madeleine Potier, gifted with natural eloquence, he began at the bar very early and occupied the position of attorney general for a quarter of a century from 1673, following his master Jérôme Bignon.. At the same time, he pursued a career in the judiciary and became an advisor to Parliament in 1666..
The chronicles of the time recount his tireless and diligent activity and his sense of organization during the plague epidemic in Soissons..
He was appointed president of the Parliament of Paris in 1690 and he only resigned from this position, in favor of his eldest son, two years before his death..
He continued the family tradition, initiated by his father, of welcoming renowned writers and ecclesiastics: Molière, Racine, Regnard and especially Boileau who dedicated his sixth Epistle to him; Fathers René Rapin, Dominique Bouhours and especially Bourdaloue for whom he wrote a Letter on his death (which occurred in 1704), which was printed.
He married Marie-Jeanne Voisin, only daughter of Daniel Voisin, lord of Cerisaye, state councilor, provost of merchants, intendant of Auvergne and Champagne, and Marie Talon, daughter of Omer Talon.
This token, judging by the edge, is a later re-strike
Chrétien-François Ier de Lamoignon né le 26 juin 1644 et décédé le 7 août 1709, fut avocat général et magistrat au Parlement. Sa famille semble avoir été originaire du Nivernais.
Fils aîné de Guillaume Ier de Lamoignon et de Madeleine Potier, doué d'un éloquence naturelle, il débute très tôt au barreau et occupera pendant un quart de siècle la fonction d'avocat général à partir de 1673, à la suite de son maître Jérôme Bignon. Parallèlement, il poursuit une carrière de magistrature et il devient conseiller au Parlement dès 1666.
Les chroniques de l'époque relate son inlassable et diligente activité et son sens de l'organisation pendant l'épidémie de peste de Soissons.
Il fut nommé président à mortier du Parlement de Paris en 1690 et il ne se désistera de cette charge, en faveur de son fils aîné, que deux ans avant sa mort.
Il continuera la tradition familiale, initiée par son père, d'accueillir les littérateurs et les ecclésiastiques en renom: Molière, Racine, Regnard et surtout Boileau qui lui dédiera sa sixième Épitre; les pères René Rapin, Dominique Bouhours et surtout Bourdaloue pour lequel il écrivit une Lettre sur sa mort (survenue en 1704), qui fut imprimée.
Il épousa Marie-Jeanne Voisin, fille unique de Daniel Voisin, seigneur de la Cerisaye, conseiller d'État, prévôt des marchands, intendant d'Auvergne et de Champagne, et de Marie Talon, fille d'Omer Talon.
Ce jeton, si l’on en juge à la tranche, est une refrappe postérieure.
We find a biography of our character at http://fr. Wikipedia. org/wiki/Chr%C3%A9tien-Fran%C3%A7ois_Ier_de_Lamoignon from which we extract the following: Chrétien-François Ier de Lamoignon born on June 26, 1644 and died on August 7, 1709, was attorney general and magistrate in Parliament. His family seems to have come from Nivernais.
Eldest son of Guillaume I de Lamoignon and Madeleine Potier, gifted with natural eloquence, he began at the bar very early and occupied the position of attorney general for a quarter of a century from 1673, following his master Jérôme Bignon.. At the same time, he pursued a career in the judiciary and became an advisor to Parliament in 1666..
The chronicles of the time recount his tireless and diligent activity and his sense of organization during the plague epidemic in Soissons..
He was appointed president of the Parliament of Paris in 1690 and he only resigned from this position, in favor of his eldest son, two years before his death..
He continued the family tradition, initiated by his father, of welcoming renowned writers and ecclesiastics: Molière, Racine, Regnard and especially Boileau who dedicated his sixth Epistle to him; Fathers René Rapin, Dominique Bouhours and especially Bourdaloue for whom he wrote a Letter on his death (which occurred in 1704), which was printed.
He married Marie-Jeanne Voisin, only daughter of Daniel Voisin, lord of Cerisaye, state councilor, provost of merchants, intendant of Auvergne and Champagne, and Marie Talon, daughter of Omer Talon.
This token, judging by the edge, is a later re-strike