fme_446704 - LUIGI XVIII Médaille de visite de Charles-Albert de Savoie
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Articolo venduto sul nostro negozio (2019)
Prezzo : 80.00 €
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Tipo : Médaille de visite de Charles-Albert de Savoie
Data: 1824
Nome della officina / città: 75 - Paris
Metallo : bronzo
Diametro : 41 mm
Asse di coniazione : 12 h.
Incisore CAQUÉ Armand Auguste (1795-1881)
Peso : 41,1 g.
Orlo : lisse
Commenti sullo stato di conservazione:
Belle et intéressante médaille avec une agréable patine brune
Diritto
Titolatura diritto : RERUM GEST. - FIDEL - ET - AETERN// AE. A. A. F.F..
Descrittivo diritto : Deux allégories féminines autour d’un balancier.
Rovescio
Titolatura rovescio : CHES AMEB ALBT DE SAVOIE PRINCE DE CARIGNAN VISITE LA MONNAIE RLE DES MÉDAILLES // LE 7 JANVIER 1824.
Descrittivo rovescio : Écu de Savoie surmonté d’un heaume couronné.
Commento
Charles-Albert de Savoie (ou de Sardaigne) né à Turin le 2 octobre 1798 et mort à Porto (Portugal) le 28 juillet 1849, a été roi de Sardaigne, roi titulaire de Chypre et de Jérusalem, prince du Piémont, duc de Savoie et duc de Gênes de 1831 au 23 mars 1849. Il a porté également les titres de prince de Carignan et comte de Barge. Son nom est lié à la promulgation du Statut fondamental de la Monarchie de Savoie du 4 mars 1848, dit Statut Albertin qui fait du royaume de Sardaigne puis de l’Italie, une monarchie constitutionnelle.
Pour se réhabiliter aux yeux du roi qui songe à l’écarter du trône au profit de son fils Victor-Emmanuel, Charles-Albert participe à l’expédition française d’Espagne de 1823 aux côtés du duc d’Angoulême ce qui lui donne la réputation de « renégat » aux yeux des libéraux italiens. Pour rentrer à Turin, il doit jurer de maintenir l’absolutisme (1824). Esprit curieux, il a une vaste culture, notamment économique et il parle couramment le français, l’allemand et l’anglais..
Pour se réhabiliter aux yeux du roi qui songe à l’écarter du trône au profit de son fils Victor-Emmanuel, Charles-Albert participe à l’expédition française d’Espagne de 1823 aux côtés du duc d’Angoulême ce qui lui donne la réputation de « renégat » aux yeux des libéraux italiens. Pour rentrer à Turin, il doit jurer de maintenir l’absolutisme (1824). Esprit curieux, il a une vaste culture, notamment économique et il parle couramment le français, l’allemand et l’anglais..