E-auction 357-270761 - fjt_575743 - ACADÉMIES ET SOCIÉTÉS SAVANTES Société des inventions et découvertes 1791
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SENZA COSTI PER GLI ACQUIRENTI.
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Valutazione : | 50 € |
Prezzo : | 34 € |
Offerta maxima : | 51 € |
Data di fine vendita : | 17 febbraio 2020 18:33:00 |
partecipanti : | 5 partecipanti |
Tipo : Société des inventions et découvertes
Data: 1791
Metallo : rame rosso
Diametro : 27 mm
Asse di coniazione : 6 h.
Peso : 7,16 g.
Orlo : cannelée
Diritto
Titolatura diritto : MENTE MANU QUE.
Descrittivo diritto : Buste de la France casquée à gauche, sous les traits de Minerve. Signé Dupré.
Traduzione diritto : Par son esprit et par sa main.
Rovescio
Titolatura rovescio : SOCIETE DES INVENTIONS ET DECOUVERTES ; À L'EXERGUE : LE 7 JANVIER 1791.
Descrittivo rovescio : Inscription en six lignes dans le champ.
Commento
Cette société fut formée en 1791 pour encourager les recherches et découvertes dans toutes les branches de l'industrie.
De toute évidence elle fut très importante et après l’introduction ci-dessous
Avec la loi du 21 août 1790 autorisant les sociétés libres, certains « artistes-inventeurs » se regroupent au sein de la Société des inventions et découvertes dès l’été 1790 pour obtenir des mesures garantissant leur propriété sur leurs inventions.
La documentation existante sur la Société des inventions et découvertes, même si elle est lacunaire, permet de la saisir à quatre moments clés de son existence : en 1791, lors du vote des lois protectrices de l’invention, puis en 1793, lorsqu’elle se met au service de la Patrie en danger, en l’an VI [1798] avec un projet de règlement particulièrement novateur, et enfin à son déclin, en 1810-1811. Elle permet aussi de mettre en évidence certains points forts de la Société ; elle montre notamment que, par la capacité de ses membres à s’organiser, elle a joué un rôle de premier plan dans l’adoption, en France, de la législation sur les brevets d’invention et, au-delà, dans l’émergence dans le débat public des gens de métier par une autre voie que la voie politique bien connue des sociétés populaires, et leur volonté de prendre en mains collectivement leurs propres intérêts.
On peut aller voir l’étude de Christiane Demeulenaere-Douyère à http://dht.revues.org/483.
De toute évidence elle fut très importante et après l’introduction ci-dessous
Avec la loi du 21 août 1790 autorisant les sociétés libres, certains « artistes-inventeurs » se regroupent au sein de la Société des inventions et découvertes dès l’été 1790 pour obtenir des mesures garantissant leur propriété sur leurs inventions.
La documentation existante sur la Société des inventions et découvertes, même si elle est lacunaire, permet de la saisir à quatre moments clés de son existence : en 1791, lors du vote des lois protectrices de l’invention, puis en 1793, lorsqu’elle se met au service de la Patrie en danger, en l’an VI [1798] avec un projet de règlement particulièrement novateur, et enfin à son déclin, en 1810-1811. Elle permet aussi de mettre en évidence certains points forts de la Société ; elle montre notamment que, par la capacité de ses membres à s’organiser, elle a joué un rôle de premier plan dans l’adoption, en France, de la législation sur les brevets d’invention et, au-delà, dans l’émergence dans le débat public des gens de métier par une autre voie que la voie politique bien connue des sociétés populaires, et leur volonté de prendre en mains collectivement leurs propres intérêts.
On peut aller voir l’étude de Christiane Demeulenaere-Douyère à http://dht.revues.org/483.